GERSHWIN RHAPSODY IN BLUE [EXTENDED]

À l'occasion du centenaire de la création de la Rhapsodie in Blue de Gershwin en 2024, Paul Lay explore les multiples facettes de cette œuvre novatrice. En combinant l'orchestre et son trio de jazz, Paul propose de rejouer, à sa manière, la version de 1942, en y ajoutant trois œuvres de Gershwin arrangées et orchestrées pour cette instrumentation spécifique (Summertime, Nice work if you can get it, It ain’t necessarily so).

Programme disponible en plusieurs versions
Piano solo
Trio piano/contrebasse/batterie
Symphonique (instrumentation ajustable en fonction de l'orchestre)


Version symphonique

créée le 8 novembre 2024 avec l’Orchestre Philharmonique de Strasbourg, sous la direction de Wayne Marshall (coproduction Jazzdor)

Un siècle après sa création, la Rhapsody in blue a trouvé un vrai souffle, une version à la hauteur de son génie créateur.
— Classykeo

Version trio

créée à La Folle Journée de Nantes 2024 avec Clemens van der Feen (contrebasse) et Donald Kontomanou (batterie)


Version solo

créée en mars 2023 au Studio 104 de la Maison de la Radio

La Rhapsody in Blue nous est offerte par Paul Lay dans une version pour piano seul, un arrangement très original qui va nous embarquer sur les montagnes russes, entre thèmes familiers, pianisme virtuose, séquence de pur piano stride et escapade de piano free [...]. Au terme de cette exploration hardie, et brillantissime, d’un monument historique, le public, chroniqueurs inclus, laisse éclater sa joie d’avoir vécu une telle aventure.
— Jazz Magazine

“Lorsqu’il crée sa Rhapsody in Blue, George Gershwin est le premier compositeur à combiner le jazz et la musique classique dans une œuvre concertante inédite. En s’appropriant les sonorités et les rythmes des jazz bands des années 1920 qu’il intègre à son écriture, il brise les barrières entre musique de jazz et musique symphonique.

La première a lieu le 12 février 1924 à l’Aeolian Hall de New York, sous la direction de Paul Whiteman ; George Gershwin tient la partie de piano soliste. Cette première version de l’œuvre est révélatrice de l’ambition du compositeur : transposer l’esprit du jazz dans son écriture pour en faire de la « grande musique », tel que Maurice Ravel, ami et grand admirateur de Gershwin, le fera lui-même dans plusieurs de ses compositions. Pour autant, l’œuvre de Gershwin est typiquement américaine, dans sa sonorité unique, et sa volonté de fusionner les traditions culturelles les plus éloignées.

Ferde Goffré a arrangé trois versions de la Rhapsody in Blue pour le compositeur : celle de 1924 fait la part belle aux cuivres et aux percussions. Une deuxième version voit le jour en 1926, puis une troisième en 1942— cette dernière étant devenue, en quelque sorte, la version officielle.”

— Paul Lay