BLUE IN GREEN: HOMMAGE À BILL EVANS

Paul Lay et son trio — Dré Pallemaerts (batterie) et Clemens Van der Feen (contrebasse) — revisitent certaines des plus belles compositions de Bill Evans (Blue in Green, Very Early, The two lonely people), ainsi que de grands standards de jazz dont il fut l’interprète de référence : Alice in Wonderland, ou encore You must Believe in Spring. Paul Lay rend hommage à ce compositeur et improvisateur mélodique exceptionnel qui a révolutionné l’art du trio piano-contrebasse-batterie. 

Enregistré en live à La Piccola Scala en février 2022, "Blue in Green" est le premier disque de jazz à paraître sur le label Scala Music, déjà coup de cœur de la Fnac.

Sans compter parmi les héritiers évidents de Bill Evans, Paul Lay parvient admirablement à épouser les contours délicats de sa musique sans pour autant cesser d’être lui-même. Chose étonnante à entendre : c’est Bill Evans, sa musicalité subtile, son élégance et sa mélancolie, et c’est Paul Lay, son appétit, ses nuances et sa grande vitalité.
— Télérama


TITRES

1.Minority - 7:40 (Gigi Gryce)
2. Alice in Wonderland
- 9:32 (Sammy Fain)
3.Interplay
- 9:59 (Bill Evans)
4. Blue in Green
- 10:04 (Bill Evans)
5.Peri's Scope
- 6:26 (Bill Evans)
6. The Two Lonely People
- 11:07 (Bill Evans)
7.Funkallero -
11-15 (Bill Evans)

“ La pandémie nous a privés de scène avec Dré et Clemens durant plus de deux ans. Lorsque l’équipe de La Scala m’a proposé cette résidence à La Scala Paris avec trois concerts au cours du printemps 2022, j’ai saisi cette occasion pour nous réunir. Ce trio existe depuis presque dix ans, avec la production de deux disques (Mikado, 2014 et The Party, 2017) ; nous y jouions principalement mes compositions.

Pour La Scala, j'ai souhaité approfondir ce travail en trio autour de la figure emblématique de Bill Evans, musicien qui nous a inspirés profondément, à travers ses compositions mais aussi les standards qu’il aimait jouer. Cet enregistrement live reflète ce que peut être la magie de l’improvisation : en raison des contraintes sanitaires, il nous avait été impossible de répéter en amont ; en outre, c’était la première fois que l’on posait des micros dans La Piccola Scala.

Voici donc ce témoignage, sans filet, où la joie des retrouvailles nous a fait emprunter des chemins inédits, que nous découvrions en même temps que le public, où notre complicité a engendré de nouvelles combinaisons et idées pour notre plus grand plaisir sur scène. ”

— Paul Lay